Une jeune fille de Montréal, Sabrina Beaubien, est disparue depuis samedi. Cela m’a rappelé la la tragique disparition de Marilyn et c’est la première fois depuis trois ans que je regarde sa photo. Je l’ai connue à Montréal en 2007. Nous ne nous sommes vues que quelques fois, mais je me souviens de sa beauté irréelle, de son sourire d’ange et de son air aérien. On avait chanté du Blondie au Karaoké Club Date et elle m’avait donné une épinglette d’un colon français qu’elle avait eu aux fêtes de la Nouvelle-France de Québec. Bref, je n’ai jamais été proche d’elle, mais sa disparition m’a fait beaucoup de peine. Je suis très sensible, et elle l’était aussi je le crois. Cela aurait pu être moi. On vit tous dans sa vie, des moments difficiles et il est parfois difficile de se protéger contre tout… J’ai moi même été attaquée et presque violée au centre-ville de Montréal, le soir de ma fête de 22 ans, en 2010… Je me suis battue de toute mes forces et en suis sortie presque indemne… Lorsque j’ai porté plainte le lendemain, la police m’a demandé si j’inventais cette histoire pour attirer l’attention. Quelle insulte.
Lorsque votre belle Marilyn est disparue, j’ai beaucoup pleuré, car cela aurait pu être n’importe quelle fille vulnérable. Ou n’importe quelle femme forte avec un instant de vulnérabilité ou un tantinet de malchance. J’ai téléphoné au service d’enquête pour parler des comportements de son copain du temps… sans résultats. Je voulais tant collaborer à ce qu’on la retrouve, je la cherchais du regard…
Je ne peux imaginer votre souffrance. Je mène aujourd’hui une belle vie, malgré les épreuves. C’est ce que chacun souhaite pour ses proches, sa fille, sa soeur, son amie. Je vous envoie beaucoup de courage pour la date de sa disparition. Je pense à vous et je prie pour son âme. Je souhaites qu’elle soit libre et en paix.
Une jeune fille de Montréal, Sabrina Beaubien, est disparue depuis samedi. Cela m’a rappelé la la tragique disparition de Marilyn et c’est la première fois depuis trois ans que je regarde sa photo. Je l’ai connue à Montréal en 2007. Nous ne nous sommes vues que quelques fois, mais je me souviens de sa beauté irréelle, de son sourire d’ange et de son air aérien. On avait chanté du Blondie au Karaoké Club Date et elle m’avait donné une épinglette d’un colon français qu’elle avait eu aux fêtes de la Nouvelle-France de Québec. Bref, je n’ai jamais été proche d’elle, mais sa disparition m’a fait beaucoup de peine. Je suis très sensible, et elle l’était aussi je le crois. Cela aurait pu être moi. On vit tous dans sa vie, des moments difficiles et il est parfois difficile de se protéger contre tout… J’ai moi même été attaquée et presque violée au centre-ville de Montréal, le soir de ma fête de 22 ans, en 2010… Je me suis battue de toute mes forces et en suis sortie presque indemne… Lorsque j’ai porté plainte le lendemain, la police m’a demandé si j’inventais cette histoire pour attirer l’attention. Quelle insulte.
Lorsque votre belle Marilyn est disparue, j’ai beaucoup pleuré, car cela aurait pu être n’importe quelle fille vulnérable. Ou n’importe quelle femme forte avec un instant de vulnérabilité ou un tantinet de malchance. J’ai téléphoné au service d’enquête pour parler des comportements de son copain du temps… sans résultats. Je voulais tant collaborer à ce qu’on la retrouve, je la cherchais du regard…
Je ne peux imaginer votre souffrance. Je mène aujourd’hui une belle vie, malgré les épreuves. C’est ce que chacun souhaite pour ses proches, sa fille, sa soeur, son amie. Je vous envoie beaucoup de courage pour la date de sa disparition. Je pense à vous et je prie pour son âme. Je souhaites qu’elle soit libre et en paix.
Amour et compassion,
Amélie, 25 ans